365 Jours : Tome 2 – Blanka Lipinska

Analyse | 365 Jours : Tome 2 ( Blanka Lipinska )

---

Avis | 365 Jours : Tome 2 ( Blanka Lipinska )

En quelques lignes

En quelques lignes

Le rêve de Massimo s’est réalisé. Il a conquis le cœur de Laura plus vite que prévu. Elle l’aime et elle va lui donner un enfant. Laura vit pour sa part vite une vie de princesse, luxe et passion , où tous ses désirs se font réalité. Mais ce n’est pas toujours évident de vivre avec l’homme le plus puissant et dangereux de Sicile. 

L’intrigue

Le tome deux de 365 jours, continue l’aventure de Massimo et Laura entre le luxe, le sexe et la violence, ce dark romance devient plus un roman érotique très noir et violent qu’un vrai romance. L’intrigue se dégrade tout au long avec une perte de cohérence et de crédibilité. L’histoire devient lourde, répétitive, prévisible et sans intérêt. Les scènes de sexes sont omniprésentes, ainsi que des moments banals qui n’apportent rien à l’intrigue. Avec ce scénario farfelu, le suspense se détériore devient insipide, sauf vers la fin du ce livre avec l’apparition de Nacho où l’intrigue se corse et Blanka Lipinska arrive à nous accrocher de nouveau. 

Un peu ? J’ai failli t’étrangler, souffle-t-il bruyamment, puis il se rallonge sur le dos. Parfois, j’ai peur de ce que tu libères en moi.

Alors, imagine à quel point j’ai peur de ce que je deviens à tes côtés..

La qualité du premier tome n’était pas très élevée, mais le second est bien plus bas. La plume de Blanka Lipinska est plate, sans émotion, clairement, il n’est pas très bien écrit. Malgré que son écriture soit fluide qui se laisse lire, la trame narrative est vide et répétitive, donc le lecteur est vite ennuyé. En bref, il n’y a pas assez de matière pour faire un tome. 

Les personnages

Les personnages ne participent pas à améliorer la qualité du récit. Ils sont fades, superficiels et très peu élaborés.  

Dans le cas de l’héroïne, Laura, elle devient barbante, superficielle et complètement éblouie par le luxe, les vêtements de grand couturier, les chaussures, les voitures,… Elle vit que pour cela, tout au long du roman. 

Malgré qu’elle est tombé amoureuse de Massimo, elle continue à l’appeler l’home en noir, distant et dangereux. Elle ne transmet aucune émotion de ses sentiments pour lui, simplement une grande attirance sexuelle, limite violente que ça se voit les prémices d’une fin trouble. 

C’est comme s’il avait deux âmes en lui. Une que je connais, moi, celle d’un ange protecteur, et celle dont les autres ont peur, un mafieux froid et impitoyable qui ne craint rien, même pas la mort.

D’autre part, dans ce tome on découvre une facette plus tendre et protecteur de Massimo que dans le premier livre. Il continue à garder la dualité entre ses sentiments pour Laura et son aussi sombre chef mafieux. Blanka Lipinska essaie de le bonifier tout en essayant de lui garder une part d’ombre. 

Je veux à la fois qu’elle me craigne, mais aussi qu’elle sache réellement qui je suis.

Olga prend plus de place dans ce tome. La meilleure amie de Laura et confidente est impulsive, extravertie et elle vit tout à l’extrême. Mais malgré son caractère fort elle suit Laura comme un petit chien, la typique copine “oui, oui” qui n’apporte rien à l’intrigue. 

La romance

Pour faire court, il n’y a pas de romance. Massimo est obsédé par Laura et elle par sa garderobe de luxe et quand ils sont ensemble c’est du sexe. Ils ne partagent rien, pas d’émotion, pas de sentiments réels. Bref, pas d’amour. 

Le mot de la fin : 365 Jours – Tome 2

Pour être franche, je suis très déçue de ce tome. Je croyais que l’histoire allait s’améliorer, mais je me suis trompé. Les personnages sont fades et superficiels, impossible de s’identifier avec eux ou même avoir une sympathie. Ce tome est trop et pas assez : trop de sexe, trop de shopping, trop de passages sans intérêt qui remplissent les pages sans faire avancer l’intrigue sans suspense ni crédibilité. 

Blanka Lipinska décrit Laura comme une femme irresistible que tous les hommes tombent amoureux. Dès qu’elle approche d’un homme, il est captivé par sa beauté et il est prêt à affronter l’homme en noir mafieux et accepter son bébé. Que ça lui arrive une fois, bon ça passe, mais trois fois de suite ça fait beaucoup pour un seul livre. Perdant ainsi le peu de crédibilité qu’il avait. 

Le personnage de Olga est mal utilisé. Ça aurait apporté plus à l’intrigue si elle était l’amie compréhensive qui apporte la voix de la raison à Laura. Qui l’aide à y voir plus clair et à ne pas être une tête brûlée, plutôt qu’une simple camarade de shopping. 

L’apparition de Nacho me donne un peu d’espoir. Mais, pour être franche, en connaissant la qualité de la plume et des personnages je n’attends pas grand chose. 

Je vous raconterai, 😉

---

4e de couverture | 365 Jours : Tome 2 ( Blanka Lipinska )

La vie Sicilienne de Laura Biel ressemble à un conte de fées. Un mariage, un enfant, un luxe sans mesure, un mari qui donnerait tout pour elle.

Tout serait idéal si le monde de Massimo ne tournait pas autour de manipulations, trahisons, et violences.

Laura réalise douloureusement quelles sont les conséquences d’être la femme de l’homme le plus dangereux de Sicile.

Cette deuxième partie de 365 jours est un roman plein d’action, de retournements de situation, de trahisons et de combats pour l’honneur. Chaque chapitre est étonnant, rien n’est évident, mis à part un amour passionnel où il n’y ni de bons ni de mauvais héros mais beaucoup d’incertitude, d’aventure et de passion.

---

Les autres avis de la série : 365 Jours

---

Si vous avez aimé ce livre, vous adorerez…

---

Participez dans le Club de Lecture