Campus drivers – Tome 2 Book Boyfriend

Book Boyfriend est un new adult drôle qui joue avec les stéréotypes du petit ami parfait mais …

Auteur : C. S. Quill
Éditeur : Hugo Roman
Date de publication : 1 octobre 2020
Nombre de page : 425 pages
Genre : New Adult
Série : Campus Drivers
Tomes : 3 Livres
Note :

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Analyse | Book Boyfriend – Tome 2 de Campus Drivers ( C. S. Quill )

Histoire

50 %

Intrigue

50 %

Plume

70 %

Personnages

50 %

Originalité

60 %

Suspense

50 %

Addictivité

70 %

Emotivité

50 %

Divertissant

70 %

Avis | Book Boyfriend – Tome 2 de Campus Drivers ( C. S. Quill )

Un new adult drôle

L’aventure des Campus Drivers continue avec le tome 2, Book Boyfriend avec ce new adult drôle et addictif. C.S. Quill met en lumière le monde de la romance en jouant avec tous les stéréotypes du petit ami parfait.

Le petit ami parfait

Donovan est le capitaine de l’équipe de basket de l’université. Il est beau, sexy et sportif, bref, il ne manque pas de conquêtes. Mais pendant l’été, Donovan a une révélation qui le poussera à se remettre en question avec un nouvel objectif : devenir le petit ami parfait. Mais pour atteindre cette resolution à besoin de Carrie passionnée des livres de romance.

Les motivations

Notre protagoniste masculin est un bon gars, gentil, compétiteur et taquin. Franchement, il a un bon fond, il est sensible et il veut être le meilleur. Donovan est tout chamboulé quand il découvre que sa sœur s’est fait harceler par un ancien ami et qu’il n’avait rien vu. Il veut réparer la relation tendue qu’il a avec sa sœur Amélia et pour cela doit devenir le meilleur petit ami.

Sincèrement, je n’ai trouvé pas logique la réaction de Donovan suite à cette découverte. Je comprends qu’il a été affecté, qu’il se sente coupable et qu’il veuille être une meilleure personne pour se rattraper auprès de sa sœur. Mais en quoi se trouver une copine et être le meilleur petit ami ça va prouver à sa sœur qu’il est quelqu’un de bien ?

Cette motivation n’a pas de sens et participe à détruire la crédibilité de l’histoire. Les motivations du personnage sont erronées et on a la sensation qu’il sont factrices.

Une passionnée de la romance

Carrie est en apparence réservée et solitaire. Elle se cache derrière les livres de romances pour ne pas être blessée. Elle a peur de reproduire le couple des ses parentes qui à fait beaucoup souffrir sa mère. Mais sous cette barrière qu’elle se crée, elle est drôle avec une forte personnalité et du répondant. Ce qu’il va nous apporter du piment dans l’histoire.

Je n’ai pas l’habitude de fréquenter mes congénères en dehors du club de lecture parce que l’amitié, c’est un peu comme l’amour : ça peut faire mal.

Un dénouement précipité

Ce manque de profondeur pour les personnages, on le retrouve aussi dans la trame, qui n’est pas très élaborée. Le romance entre Donovan et Carrie manque de crédibilité, d’une part par les motivations de Donovan qui le poussent à se rapprocher de Carrie mais aussi dans leur relation. Il y a des beaux moments (à part les répliques drôles) mais leur couple reste superficiel et forcé, ce qui peut devenir ennuyant. L’écrivaine nous décrit des personnages avec des problèmes familiaux qui viennent alimenter l’intrigue mais malheureusement, elle ne traite pas la résolution des ses problèmes dans le dénouement, tout est resté comme si se solutionnait tout seul. Il manque d’action, de créativité et de cohérence.

Le point fort du livre

La plume de C.S. Quill est comme d’habitude, belle, fluide et addictive. Elle a un don pour l’écriture et elle nous le montre bien. Cette saga se caractérise par son ton drôle et amusant. L’écrivaine utilise les conversations entre les personnages pour donner des répliques mordantes qui nous font rire.

– Alors, Carrie, tu passes un bon moment ? il m’interroge en souriant.
– Ton épaule ? je réplique, le front plissé.
– Berenson m’a pas loupé.
-Je lui souhaite une infection de l’anus.
Ma tirade tire un ricanement à Lewis que je n’avais même pas remarqué à côté, trop occupée à dévisager Don.
-Je veux la même, il quémande en clignant des yeux. Tu n’as qu’un mot à dire, Carrie, et je serai ton amant. Sache que ma bite est outrageusement plus grosse que ton doigt.

Le mot de la fin sur le tome 2 : Book Boyfriend

L’idée de départ est bonne, mettre en avant le personnage masculin en soulignant les traits parfait qui nous font tomber amoureuses des nos héros de nos romances. J’étais tout excité de découvrir le point de vue masculin de Donovan quand il lit les livres d’amour. Mais, malheureusement ce concept n’est pas poussé au bout. Sauf les joutes verbales entre nos deux personnages, je trouve que leur couple sonnait faux. Ils entrent dans une compétition pour être le meilleur qui rend leur amour forcé.

De tous les livres que j’ai pu découvrir de C. S. Quill, celui-ci est celui que j‘ai le moins aimé. Il est plus superficiel et moins travaillé que les autres. Pour ma part, j’aurai préféré une histoire plus profonde et plus complexe et peut-être moins drôle mais plus vraie. J’espère pour le tome 3 que l’aventure et la passion seront là.

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4e de couverture | Book Boyfriend – Tome 2 de Campus Drivers ( C. S. Quill )

Lorsque Donovan, Campus Drivers adulé et bourreau des coeurs avéré, prend conscience des séquelles que peut causer son comportement, il décide de devenir LE petit ami parfait.

Pour cela, il a besoin du meilleur coach dans le domaine: Carrie. Mais, même s’ils ne se sont jamais fréquentés, celle-ci sait qu’elle ne veut rien avoir à faire avec lui. Les tombeurs d’un soir en quête de repentir, elle n’y croit pas une seconde dans la vraie vie. Elle préfère collectionner les héros des romances qu’elle dévore, c’est bien moins compliqué !

S’il parvient à la convaincre, c’est un programme intensif en romantisme que va devoir suivre Donovan. Mais n’est pas un héros de New Romance qui veut, surtout quand la réalité essaie de jouer avec la fiction !